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Bajo el vídeo, encontrarás un ejercicio, la transcripción y la traducción de las palabras más difíciles :-)
Exercice
1) En quelle année Robinson est-il né ?
2) À quel âge a-t-il décidé de devenir marin ?
3) À quel âge fait-il son premier voyage en bateau ?
4) Près de quel pays Robinson pense-t-il qu’il a échoué ?
5) Quelle est la taille de l’île ?
6) Au bout de combien de temps réussit-il à faire du feu ?
7) Après combien de mois sur l’île, Robinson a-t-il décidé de construire un bateau ?
8)) Pourquoi n’est-il pas parti avec son bateau ?
9) Au bout de combien de mois Robinson rencontra-t-il Vendredi ?
10) Pourquoi l’a-t-il appelé Vendredi ?
11) Pourquoi vendredi est-il sur cette île ?
12) Pourquoi un bateau a finalement débarqué sur l’île ?
13) Que deviennent Robinson et Vendredi ?
Correction
1) En quelle année Robinson est-il né ?
–> En 1632.
2) À quel âge a-t-il décidé de devenir marin ?
–> À 16 ans.
3) À quel âge fait-il son premier voyage en bateau ?
–> À 21 ans.
4) Près de quel pays Robinson pense-t-il qu’il a échoué ?
–> Le Venezuela.
5) Quelle est la taille de l’île ?
–> 20 km de circonférence approximativement.
6) Au bout de combien de temps réussit-il à faire du feu ?
–> Au bout de 12 jours.
7) Après combien de mois sur l’île, Robinson a-t-il décidé de construire un bateau ?
–> 2 mois.
8) Pourquoi n’est-il pas parti avec son bateau ?
–> À cause de la peur, l’angoisse de se lancer seul sur l’océan infini.
9) Au bout de combien de mois Robinson rencontra-t-il Vendredi ?
–> 8 mois.
10) Pourquoi l’a-t-il appelé Vendredi ?
–> Parce qu’il l’a connu un vendredi.
11) Pourquoi vendredi est-il sur cette île ?
–> Parce que c’était le châtiment réservé aux individus qui avaient commis une faute grave dans sa tribu.
12) Pourquoi un bateau a finalement débarqué sur l’île ?
–> Pace qu’il voulait s’approvisionner en nourriture.
13) Que deviennent Robinson et Vendredi ?
–> Ils rentrent tous les deux en Angleterre avec le bateau.
Transcription et Traduction
Bonjour, comment ça va ?
Donc aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire : l’histoire de Robinson Crusoé. Je vais parler doucement parce que j’aimerais que tout le monde puisse comprendre, même les débutants.
N’oublie pas de t’abonner à ma chaîne YouTube et de nous rejoindre sur Facebook si ce n’est toujours pas le cas pour que tu sois au courant de tout le matériel que je rajoute au fur et à mesure.
Je te laisse avec l’histoire, écoute bien et n’oublie pas que tu as aussi les sous-titres et un exercice dans le blog.
À bientôt !
Robinson Crusoé
Je m’appelle Robinson et je suis né en 1632 à York, en Angleterre.
Quand j’étais petit, j’aimais beaucoup la mer. J’allais souvent au port (puerto) de ma ville voir les bateaux avec mon père. Cette passion ne m’a jamais quitté et à l’âge de seize ans, j’ai décidé de devenir marin (marinero). Mais mes parents n’étaient pas d’accord : mon père voulait que je devienne avocat ou médecin et ma mère me disait que la mer était dangereuse et que la vie des marins était dure. Alors, pour leur faire plaisir (para complacerles), j’ai essayé d’oublier la mer et j’ai commencé des études de droit à l’université.
Tout allait alors plutôt bien : j’avais plus ou moins réussi à oublier mon rêve de marin et ma carrière comme avocat s’annonçait brillante (carrera como abogado parecía muy prometedora). Pourtant, à l’âge de 21 ans, un événement allait changer ma vie. Un ami étudiant, me dit un jour : “Tu sais, mon père a un grand voilier (velero) et ce week-end, je vais faire un tour en bateau avec lui, tu veux venir avec nous ?”
J’avais promis à mes parents que je ne deviendrais pas marin mais pas que je ne ferais jamais de bateau (pero no que nunca navegaría) !
Je lui répondis : “Bien sûr, avec plaisir !”
On partit le samedi matin du port de York. Il faisait beau et la mer (mar) était calme (en calma). Les premières heures de navigation étaient tranquilles (tranquilas) mais vers 18 heures, quand le soleil commença à se coucher, le vent se leva. De grosses vagues frappaient (olas golpeaban) sur le bateau qui se soulevait (elevaba) et retombait (volvía a caer), se soulevait et retombait… J’avais le mal de mer (tenía el mal de mar) et j’avais aussi très peur. Je dis à mon ami : ” Tu crois que ça va aller ?” Et il me répondit en riant (riendo) : “Ça c’est rien, tu n’as jamais vu de vraie tempête (tormenta)!”
Finalement, nous rentrâmes au port sains et saufs (sanos y salvos) le dimanche soir mais tout avait changé : ma passion pour la mer m’avais rattrapé (me había vuelto a atrapar) et quand un mois plus tard mon ami me proposa de partir sur le bateau de son père tout l’été pour traverser (cruzar) l’Océan Atlantique, j’étais fou de joie (loco de alegría).
Je ne dis rien à mes parents et au début du mois de juillet, je leur dis juste que j’allais passer l’été à la campagne chez un ami.
Nous embarquâmes (Embarcamos) le 9 juillet avec comme destination le Brésil. Nous ne savions pas alors que jamais nous y arriverions.
Après environ 50 jours de navigation, nous étions déjà à plus ou moins 200 km des côtes (costas) de l’Amérique du sud. Jusque là, la traversée (travesía) s’était bien passée avec seulement quelques moments agités (algunos momentos agitados), rien de plus. Mais ce jour-là, les choses semblaient différentes (las cosas parecían diferentes). Il était environ midi et le vent commençait à devenir de plus en plus fort. À 18 heures nous étions déjà pris dans une énorme tempête. Le bateau paraissait bien petit par rapport aux énormes vagues qui le remuaient dans tous les sens (con respecto a las enormes olas que lo zarandeaban en todas direcciones). Le père de mon ami ordonna (ordenó) alors de baisser toutes les voiles (bajar todas las velas) à l’exception d’une partie de la grande voile afin que le bateau puisse rester gouvernable (dirigible). C’était la première fois que je sentis dans le regard (en la mirada) de mon ami la peur et cette fois-ci, je savais que c’était vraiment dangereux. Vers minuit, la tempête s’était transformée en un véritable ouragan (huracán) et il était très clair (muy claro) que d’un moment à l’autre notre bateau allait être englouti (tragado) par une vague.
Je ne me rappelle plus de ce qui s’est passé alors. Mon dernier souvenir c’est que j’étais sur le pont (cubierta), accroché à ma bouée de sauvetage (agarrado a mi salvavidas) avec une telle peur que j’étais incapable de bouger. Bizarrement, je n’avais pas le mal de mer (Extrañamente, no tenía el mal de mar)…
Quand j’ai retrouvé mes esprits (recobré el sentido) j’étais allongé sur une plage déserte (playa desierta). Les vagues venaient mouiller (mojar) mes pieds et de nombreux débris (restos) étaient éparpillés (esparcidos) sur le sable (arena), signe d’une tempête récente.
Je me suis levé, j’ai appelé mais il n’y avait personne. J’ai cherché longtemps mes deux compagnons le long de la plage (a lo largo de la playa) mais je ne les ai jamais trouvés. J’étais triste et désespéré (desesperado) et j’avais mal partout. Et surtout, Je me demandais où est-ce que j’étais. Je réfléchis un moment puis je conclus que je devais être sur une des nombreuses îles (islas) qui se trouvent en face du Venezuela. Je marchai pendant 6 heures le long de la plage, persuadé (convencido) de rencontrer une personne ou au moins des traces de vie humaine (indicios de vida humana) mais rien, il n’y avait personne. Il se mit alors à pleuvoir très fort, comme habituellement dans ces régions tropicales. Comme j’avais très soif, je remplis (llené) d’eau de pluie de vieilles noix de coco (nueces de coco) que j’avais repérées (había avistado) sur la plage. J’avais ainsi une réserve d’eau pour quelque temps, au cas où (por si acaso). Le soir arrivait et je devais vite m’organiser car la nuit tombe rapidement dans cette région. Je me construisis (Me construí) un abri (refugio) avec des branches d’arbres (ramas de árboles), près de la mer. Je n’avais ni lumière, ni montre, ni lit, ni maison. La nuit était tombée, la pluie avait cessé (había cesado)et on entendait des bruits d’animaux sauvages. J’avais très peur mais avec la fatigue (cansancio) je finis par m’endormir. C’était ma première nuit sur l’île.
Le lendemain, je décidai de monter sur une petite montagne qui se trouvait près de la plage. Je me disais que de là-haut, je pourrais avoir une vue d’ensemble (vista general) et mieux me repérer (orientarme). Je passai la moitié de la journée à monter. J’avais faim mais ma curiosité et l’espoir me donnaient la force (fuerza) nécessaire. Quand j’arrivai au sommet (la cima), je découvris avec dégoût (con disgusto, repugnancia) que j’étais bien sur une île mais que celle-ci était très petite : 20 km de circonférence approximativement et surtout, surtout, il ne semblait y avoir aucune trace de vie humaine (ningún rastro de vida humana). Je cherchai sur la mer des bateaux ou d’autres îles mais il n’y avait rien. Mes deux amis étaient sûrement morts et je me trouvais sur une île perdue au milieu de l’Océan Atlantique sans rien à manger, sans personne à qui parler, sans rien. Je pleurai comme un enfant pendant au moins une demi-heure puis je descendis finalement vers la plage, abruti par le désespoir (atontado por la desesperación).
Les premiers jours sur mon île furent entièrement consacrés à survivre (dedicados a sobrevivir).
Je réussis à faire du feu (Conseguí encender un fuego) au douzième jour en frottant des morceaux de bois (frotando trozos de madera). Ce fut une étape clé (etapa clave) . Le feu me permettait de cuire (cocer) des aliments, de me réchauffer (calentarme) mais surtout, il me rassurait (me tranquilizaba). Je décidai de laisser toujours un feu allumé afin que si un bateau passait par là, il puisse voir la fumée (humo).
L’eau ne manquait pas (no faltaba) : il y avait des pluies régulières et un petit lac (lago) en bas de la petite montagne.
Pour manger, au début je cueillais (recogía) des fruits puis j’appris à capturer(capturaba) des poissons et des oiseaux sauvages(salvajes).
Je me construisis une cabane solide (Me construí una cabaña sólida) avec des troncs (troncos) d’arbres et des pierres. Je marquais (Marcaba) chaque jour qui passait avec une marque (una marca) sur un arbre pour constituer un calendrier (calendario) et ne pas me perdre dans le temps.
Après deux mois sur l’île j’avais finalement réussi à survivre. J’avais trouvé toutes les choses indispensables et à part une possible maladie, ma vie n’était plus en danger. J’étais presque satisfait mais alors arriva une nouvelle période de dépression. Une fois l’urgence et la course à la survie passée (Una vez pasadas la uregncia y la carrera hacia la supervivencia), j’avais enfin un peu plus de temps pour penser. Je pensais à ma vie en Angleterre, à mes parents, à mes amis. Pendant tr jours je ne sortis pas de ma cabane, je pleurais souvent.
Le quatrième jour, une idée me redonna espoir (una idea me devolvió la esperanza) : j’allai construire (construir) un bateau et partir de ma prison (cárcel)!
Je consacrai (Dedicqué) pendant deux semaines toute mon énergie à la construction du bateau. J’utilisai des troncs d’arbres, des branches et des lianes tissées comme cordes (lianas tejidas como cuerdas).
Il fallait aussi trouver un endroit de l’île approprié (adecuado) pour le départ en bateau car les vagues étaient puissantes et difficiles à passer (potentes y difíciles de atravesar) . Je choisis finalement la partie sud-est. Les vagues étaient moins fortes et il y avait assez d’arbres pour construire le bateau.
Le jour J approchait. J’allais enfin quitter cette maudite (maldita) île ! Je préparai assez de nourriture et surtout des réserves d’eau et des réservoirs (depósitos, recipientes) pour recueillir (recoger) l’eau de pluie. Mais plus le jour du départ s’approchait (día de la salida se acercaba) plus je sentais une angoisse (angustia) monter en moi. Chaque jour, le stress augmentait (aumentaba) et finalement je ne trouvai jamais le courage de me lancer seul (el valor para lanzarme solo) sur cet océan infini. Je pensais finalement que cela ressemblait plus à un suicide (suicidio) qu’à une évasion (fuga) et qu’il valait mieux (más valía) attendre encore un peu. Peut-être qu’un bateau finirait par passer. Finalement, Je ne partis jamais et mon bateau pourrit lentement (se pudrió lentamente) près de la plage.
Cela faisait déjà huit mois que j’étais sur cette île. Les jours passaient et je m’habituais tant bien que mal à mon sort (me iba acostumbrando mal que bien a mi situación). L’île n’avait plus de secret pour moi. Pourtant un événement extraordinaire allait arriver.
Je me baladais le long de la plage à la recherche de petits crabes (buscando pequeños cangrejos) pour le petit-déjeuner lorsque je vis une chose inespérée (inesperada) : des empreintes de pas (huellas de pasos) humains ! Je ne pouvais pas le croire ! Au début je pensai que c’était les miennes mais c’était impossible. Je n’étais pas venu à cet endroit depuis au moins deux jours et il avait plu la veille, ce qui aurait effacé (borrado) les empreintes.
J’observai avec attention les traces (huellas) sur le sable et j’en conclus (concluí) qu’aux moins quatre hommes avaient marché sur la plage.
On voyait aussi qu’un homme s’était dirigé (dirigido) vers l’intérieur de l’île en courant (corriendo) mais étrangement (extrañamente), il n’y avait aucune empreinte qui aurait pu indiquer qu’il était revenu vers la mer (que pudiera indicar que había regresado hacia la playa). Il y avait aussi des traces d’un petit bateau qui avait été tiré (que había sido arrastrado) sur le sable. Ces hommes étaient certainement venus ici pendant la nuit.
Au début je m’en voulais d’avoir raté l’occasion (estaba enfadado conmigo mismo por haberme perdido la ocasión) d’être rentrer en contact (entrar en contacto) avec ces hommes. Je me disais :”J’aurai certainement pu partir avec eux en bateau, j’aurais été enfin libre (habría sido porfin libre) !”. Mais après avoir retrouvé mes esprits (después de recobrar mis sentidos) je réfléchis plus calmement (tranquilamente) et j’en conclus que ça devait être des indigènes (indígenas) et que s’ils m’avaient vu, ils m’auraient peut-être tué.
Je repartis songeur (pensativo) vers ma cabane. En chemin (Por el camino), j’avais l’étrange et désagréable sensation que quelqu’un m’observait.
Je pensais : “Ces empreintes qui se dirigeaient vers la forêt (se dirigen hacia el bosque), ce doit être celle d’un homme qui est encore sur l’île.”
J’étais mort de peur et en même temps excité à l’idée de rencontrer cet homme.
Arrivé près de ma cabane, il me sembla (me pareció) voir quelqu’un à l’intérieur.
J’étais paniqué (en estado de pánico) . Je me cachai (Me escondí) derrière un gros arbre et observai. En effet cinq minutes après, un homme à la peau noir sortit de ma cabane. Il avait l’air étonné (asombrado) de voir mes affaires (cosas, pertenencias), ma cabane, mon feu…
Je décidai d’aller vers lui et de lui parler. Je pris avant un grand bâton (palo) à la main afin de pouvoir me défendre s’il le fallait puis, je m’approchai et je lui dis bêtement (tontamente) : “Bonjour, je m’appelle Robinson”. L’homme se retourna d’un bond (se giró sobresaltado). Quand il me vit son visage changea brusquement et la panique l’envahit (el pánico le invadió). Je pensais qu’il partirait en courant mais ce ne fut pas le cas (no fue el caso). Il se mit à genoux et cria et pleura comme s’il me suppliait de l’épargner (como si me estuviera suplicando que le perdonara la vida). Il pensait certainement que j’étais une sorte de dieu ou un monstre légendaire doté (dotado) de pouvoirs extraordinaires. Quand il comprit que je ne le tuerais pas, il se calma (se calmó). Il semblait être prêt à m’obéir tel un prisonnier (dispuesto a obedecerme como si de un prisionero se tratara) auquel on aurait épargné (perdonado (la vida)) la mort.
Je sus plus tard qu’il avait été amené par les hommes de sa tribu sur cette île et laissé à l’abandon (dejado abandonado). C’était le sort (destino) réservé aux membres de la tribu qui avaient commis (que habían cometido) une faute grave. La légende disait que sur l’île, vivait un dieu qui décidait du sort des bannis (desterrados) . Je ne sus jamais quelle faute grave il avait commis, jamais il ne me le raconta.
Cet homme était pour moi comme l’opportunité de ne pas devenir fou (loco), tout seul sur cette île.
J’appris à le connaître et lui enseignai à parler un peu ma langue. Je l’appelai Vendredi car je le connus un vendredi.
Notre relation était de type maître-esclave (amo – esclavo) mais cela avait l’air de lui plaire et permettait d’éviter tout conflit.
Il m’apprenait de son côté énormément de choses propres au savoir (propias al saber) des hommes de la nature. Je pus ainsi manger plus souvent de la viande, d’autre types de poissons, faire des pots de terre (jarros de terracota) pour garder l’eau et la nourriture… Mais surtout j’avais enfin une présence humaine avec moi.
La vie était presque devenue agréable et de nombreuses années passèrent.
Un matin, alors que je pêchait (pescaba), je vis quelque chose sur l’eau, au loin. Au début je pensai que c’était un de ces petits bateaux de la tribu de Vendredi. Je montai sur la petite montagne et je vis un grand bateau anglais qui semblait venir vers l’île. J’étais comme fou. J’ordonnai (Ordené) à Vendredi de faire un feu plus grand afin que l”équipage (tripulación) voie bien la fumée.
Une heure après, vingt-cinq hommes couraient partout sur l’île. Il s’agissait d’un navire (Se trataba de un barco) anglais qui rentrait en Angleterre et qui s’était détourné de sa route habituelle (que se había desviado de su ruta habitual) à cause d’une tempête. Avec la tempête, leurs réserves de nourriture était tombées à l’eau. Alors, quand ils ont vu une île ils ont décidé de s’y arrêter à la recherche de provisions.
Après un moment de joie (felicidad) intense, un sentiment étrange m’envahit (me invadió). Ces hommes me semblait maintenant si étrangers, si brutaux (brutales), si peu en harmonie (armonía) avec l’île, avec ma vie ici. À un moment, j’hésitai (vacilé) même à repartir avec eux.
Finalement, j’embarquai à bord du bateau (embarqué a borde del barco), avec mon ami Vendredi, qui m’accompagna (me acompañó) jusqu’en Angleterre et qui resta à mes côtés tout le long de ma vie (y se quedó a mi lado el resto de mi vida).
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Gracias mil Pierre por esta historia tan interesante
Trè bon exercise Pierre. Je me avais déconnecté un couple de mois d’études, mais j’ai entendu tres bien votre lecture sans lire les sous-titres, bien qu’étant une histoire familière est plus facile à comprendre en français. Merci Pierre
Bravo !!
Pierre, merci beaucoup !
Il est un excellent texte pour travailler!. Je l’ai écouté plusieurs fois, j’ai cherché les verbes dans passe composé, passé simple et imparfait. J’ai formé groupes aussi des mots de vocabulaire dans le contexte de la mer, dans le contexte des émotions et des sentiments. Et je vais continuer à travailler encore plus.
Merci beaucoup Pierre (me corregirás por favor, si tengo errores en mi mensaje, gracias ).
Très bien !!!
Felicidades Pierre, me ha gustado mucho esta historia y lo fácil que se me ha hecho entenderla escuchandote. Merci beaucoup !!
me alegro!
Merci, Pierre. Ces histoires sont très utiles pour ceux qui veulent apprendre le français.
Merci beaucoup, Pierre. Una muy buena practica
Gracias por contar ésta historia. Me gusta que sea lentamente para comprender el idioma.
Merci beaucoup Pierre! Três intéressant!! Pauvre homme!
Me gustó mucho, aunque no lo escuché todo ya que no lo entiendo. Apenas estoy iniciándome en el Francés. Desde Venezuela les envio saludos. Merci Pierre